RECIT-SEXE
Fais l’amour au tél avec une vraie salope au et échange des photos avec elle ou rencontre la !
Cliquez ici pour du tel rose Suisse

Journal X (1)

Pseudo : B.Gab
EMAIL

J’écris pour la première fois depuis des années, comme si rien n’avait été intense depuis mes 17 ans, âge de mon dépucelage. J’écris parce que demain j’en aurais tellement honte que je souhaiterais peut être oublier…
Laurence et moi sommes mariés depuis 15 ans, comme beaucoup de couple nous avons été fidèles l’un à l’autre quelques temps. La routine s’installant nous sommes allés voir chacun de notre côté, d’abord en secret puis nous en avons parlé et avons décider de rester ensemble tout en s’autorisant une liberté sexuelle indispensable à notre bien être. J’ai donc rencontré beaucoup de femmes et réalisés beaucoup de mes fantasmes, pour tout dire, je tournais en rond jusqu’à ce que ma femme me fasse une proposition… Elle fréquentait depuis quelques mois un « maître » qui l’initiait au sadomasochisme et celui-ci voulait m’inclure dans leurs jeux. J’ai d’abord refusé pour plusieurs raisons, je ne suis pas fan du cuir et des chaînes mais surtout je ne voulais pas me retrouver avec un autre homme qui en plus dominerait ma femme. Habituellement, nous ne parlions pas de nos amants et maîtresses, je supposais qu’elle faisait avec eux à peu prés les mêmes choses qu’avec moi. Mais avec celui-ci, qu’elle appelait « Maître Daniel», les choses étaient différentes. Il semblait lui faire découvrir de nouvelles sensations qu’elle avait envie de partager avec moi, en apparence méfiant j’étais tout de même excité par ce qu’elle me racontait. Si bien que lorsqu’elle partait en rendez vous avec lui, je restais à la maison et essayais d’imaginer ce qu’ils faisaient. Je voyais ma femme ne portant qu’un string, agenouillée et les mains liées par une corde. Ses cheveux bruns couvrant ses tétons que de gros doigts venaient pincer. Dans mes fantasmes Maître Daniel n’avait pas de visage, juste des mains viriles qui claquaient sur les fesses encore rebondies de Laurence et qui enfonçaient de luxueux gods dans son vagin. Sur le canapé du salon, je me masturbais doucement tout en tirant sur la peau de mes testicules. C’est après une de ces séances solitaires et tout en essuyant le sperme répandu sur mon ventre que je me suis rendu à l’évidence. Il fallait que je le vive… D’une part pour satisfaire ma curiosité, découvrir son visage, son sexe, ses manières. D’autre part pour pimenter ma vie sexuelle avant de devoir prendre du viagra pour bander !
Le soir même, au dîner, j’annonçais à Laurence qu’après réflexion j’acceptais la proposition de son maître. D’abord incrédule, elle me demanda de répéter mes propos puis certaine d’avoir bien entendu elle m’adressa un large sourire avant de quitter la table. Toujours assis, je me retrouvais maintenant en tête à tête avec ma tranche de gigot sans savoir comment interpréter la réaction de ma femme. Où était elle allée ? Elle ne tarda pas à revenir uniquement vêtue de sous vêtements blancs et perchée sur des escarpins noirs. Elle tenait dans une main son téléphone portable et dans l’autre une bouteille de champagne qu’elle faisait mine de lécher tout en s’approchant de moi. Tout en s’asseyant sur mes genoux, elle me dit :
Tu ne peux pas savoir comme je suis heureuse que tu acceptes enfin de rencontrer le Maître, on va l’appeler tout de suite pour lui annoncer la bonne nouvelle.
Et sans attendre que je réponde, elle avait déjà lancé l’appel. Je n’entendais pas ce que lui disais le « Maître » mais pendant qu’elle lui parlait, elle caressait mon paquet à travers mon pantalon. Alors que je commençais à durcir elle me passa le combiné, je réussi à formuler:
Bonsoir Daniel
Pour toi comme pour ta femme, je suis Le Maître. As tu bien compris ?
Troublé par sa voix grave et l’autorité qu’il se donnait je ne sus comment réagir. Une part de moi était révoltée alors que l’autre demandait à se soumettre. Laurence, la tête sur mon torse continuait de me masser les couilles et j’ai finalement répondu :
Bien Maître, j’ai compris dis-je d’une voix calme.
Que fait Laurence actuellement ?
Heu, elle est assise sur mes genoux.
Comment est elle habillée ? m’interrogea t’il encore.
Elle porte un soutien gorge en dentelle et une culotte blanche.
Et toi, que portes tu ?
J’ai un pantalon et un polo. Classique. Et vous ? osais je demander.
Je ne sévirais pas cette fois ci, mais saches que c’est moi qui pose les questions. As tu envie de Laurence ce soir ?
De nouveau, j’avais envie de l’envoyer chier. De quoi se mêlait il ? Néanmoins, je n’avais jamais eu autant envie de ma femme depuis bien longtemps… Les ordres de cet homme enflammerais t-ils ma libido ? Je choisis donc de rester courtois :
oui Maître, j’ai envie d’elle.
Alors prends la comme il te plaira, c’est la dernière fois que vous pourrez faire l’amour sans mes directives. Demain, vous viendrez tout les deux me voir et tu seras officiellement mon soumis.
Bien, Maître.
Il raccrocha sans rien dire de plus. J’ai gardé le combiné à l’oreille jusqu’à entendre la tonalité signifiant la coupure avant de raconter la conversation à ma femme. La tête toujours appuyée sur mes pectoraux, elle ne dit rien pendant quelques minutes puis pris ma main pour la guider jusqu’à son entrejambe. Je sentais le tissu de sa culotte humide et le poussait pour laisser passer mes doigts jusqu’à’ à son clitoris. Elle gémit tout en se frottant délicatement à mes cuisses et releva la tête pour articuler d’une voix faible :
– Fait moi l’amour comme si c’était la dernière fois, écoute le Maître.
Elle m’embrassa ensuite à pleine bouche. Comme pour la satisfaire, je lui ai donné ma langue à sucer tout en enfonçant un doigts dans son vagin, puis deux que je faisais entrer et sortir au rythme de sa respiration. Prisonnière de mon slip, ma queue était maintenant bien raide et demandait à prendre l’air. Je retirais mes doigts de la chaleur de Laurence et lui fit comprendre de se lever pour changer de lieu, la bouteille de Champagne était toujours sur la table… J’emmenais donc ces deux dames au salon pour plus de confort. Debout à coté du sofa, j’enlevais les derniers bouts de tissus qu’elle portait. C’était comme si je la redécouvrais, ses seins lourds aux tétons saillants, son ventre encore ferme, ses fesses que j’avais tant désirées… Pendant que j’ouvrais la bouteille, Laurence ouvrait ma braguette et libérais mon sexe. Elle accorda quelques léchouilles à mon gland avant de venir se repaître de bulles à même le goulot. Décidant qu’elle en avait assez bu, je la poussais sur le canapé et au dessus d’elle je renversais en mince filet le Champagne sur son corps. Le liquide coulait rapidement de sa gorge à ses seins. Quelques gouttes s’étaient infiltrées à l’intérieur de son nombril et d’autres coulait sur ses grosses lèvres. Posant la bouteille à terre, j’entrepris de revisiter ce corps avec ma langue alors que mon sexe frottait sa peau de partout. Embrasser son cou, sucer ses tétons, lécher son clito, me repaître de son jus… Que de saveurs oubliées. Après l’avoir entendu jouir sous mes coups de langues, je remontais coller mon visage au sien. Sa respiration était redevenue normale et elle caressait lentement mon corps, puis elle se tourna pour me montrer sa croupe. D’une main experte, elle dirigea mon pénis vers l’entrée de son vagin serré et doux. J’allais doucement pour bien sentir ses parois qui m’avalaient, puis emporté par la fougue mes coups devenaient de plus en plus bruts, saccadés par nos gémissements. Au moment de jouir, je me suis retenu et retiré :
Pourquoi tu sors ? me demanda t-elle.
Si c’est notre dernière fois, je veux jouir dans ta bouche lui répondis-je.
Assis toi confortablement alors dit-elle en se relevant.
Agenouillée entre mes jambes, elle suça d’abord mes couilles l’une après l’autre puis bu un gorgée de Champagne qu’elle garda en bouche avant d’engloutir ma bite. La sensation froide fut vite remplacée par la chaleur de sa salive, elle bouffait bien, jusqu’à la gorge. Je ne pouvais pas m’empêcher de la regarder aller et venir, de temps en temps elle me lançait un regard coquin. Je n’ai pas mis longtemps à inonder sa bouche, elle avala toute ma semence et fini de nettoyer mon gland en lui donnant de petit coup de langues. Nous avons ensuite rejoins notre lit, abandonnant la bouteille de Champagne et nos vêtements dans le salon. Nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre.
Le lendemain matin, Laurence était survoltée à l’idée de notre entretien avec Daniel dans l’après-midi. Quant on est marié, on est censé vouloir le bonheur de son conjoint mais la voir si exaltée à l’idée de se faire baiser par un autre gars ne m’enchantait guère. Alors que la veille j’étais bien décidé a franchir le cap, notre nuit d’amour semblait avoir fait resurgir toutes mes craintes. Pourtant c’est à cet homme que je devais ces ébats… je ne l’avais jamais vu et il prenait déjà une place immense dans mon couple.

Pour des rencontres réelles appelez le Des centaines d’annonces de femmes sur votre département. Mariées ou célibataires, elles cherchent des rencontre d’un soir ou pour la vie.