RECIT-SEXE
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« Elle est mon fantasme »

Nous sommes deux amants de moins de vingt cinq ans et à chaque rencontre c’est une alchimie parfaite. Un concentré de désir, d’excitation. Malheureusement, nous n’avons jamais pu rester ensemble. En effet, deux caractères particulièrement forts ne pouvaient à cette époque se supporter… La particularité de cette fille que je souhaite appeler Mo’ c’est que nous ne sommes jamais parvenus à rester fidèles.

Nous ne nous contactons plus pendant des mois faisant notre petite vie chacun de notre côté, et à chaque fois le même rituel.
« T’es là? »
C’est le message que je reçois sur mon portable. Je connais parfaitement son numéro et la seule vue de ces quelques mots suscitent chez moi un sourire, un début d’excitation… Après quelques messages anodins, elle finit par me dire qu’elle ne va pas très bien.
La raison ? Hier, elle a attendu que son homme rentre chez elle. Elle s’est naturellement habillée en soubrette et s’est installée sur le canapé pour l’accueillir. A côté de lui, elle lui caresse l’entre jambe avec son plumeau. Je ne vous cache pas qu’à cet instant de son récit, j’étais plus préoccupé à l’imaginer dans cette tenue qu’à compatir à son malheur encore inconnu. La réaction de son homme fut tout autre ponctuant son dégoût d’un « A quoi tu joues, je vais me coucher, bonne nuit ».

A cet instant, mes pensées perverses disparurent un moment et je me mis à plaindre Mo’. Un tel refus de son corps était pour elle une humiliation. Une frustration, une tentative désespérée de se sentir désirée, touchée, aimée, de sentir son corps pris en main. Après lui avoir dit que cela pouvait arriver. Qu’il était peut être réellement fatigué, je fini par lui dire que si la surface à dépoussiérer avait été mon corps, elle aurait pu regretter sa tenue…
« Ah bon, tu m’aurais fais quoi toi? »
A partir de là, je savais que les choses allaient s’accélérer et je sentais une érection monter en moi. Grandissant crescendo, nous nous faisons un petit scénario expliquant de quelle façon
elle me prendrait en bouche et quel rythme adopter pour la satisfaire et la combler (dans la mesure du possible cela va de soit)
Quelques instants plus tard, un dernier message concluant ou plutôt introduisant ce que je voulais
« Tu fais quoi demain ? »…

Je la retrouve le lendemain chez son compagnon. Il est absent, et elle compte bien lui faire payer. Nous sommes assis sur son canapé, deux verres de vins rouge disposés sur le bord de table. Une odeur de vanille s’émane en vacillant d’un bâton d’encens. Elle porte son verre de vin à ses lèvres. C’est une petite bouche, charnue, invitation permanente aux baisers qui commence à sourire accompagnant d’un regard rieur la bosse se formant dans mon entre jambe. D’un geste fluide, elle pose le verre et vient glisser sa main sur ma cuisse en me fixant. Sa main est menue, des doigts fins viennent se glisser sur ma braguette et en me déposant un baiser, elle déboutonne ma braguette. Sa bouche est délicieuse. Ses lèvres me laisse captif. Je m’allonge sur elle l’embrassant langoureusement et en profite pour optimiser mon positionnement. La raison? Je veux qu’elle sente l’effet qu’elle me fait. Elle me repousse et me dit « pas ici, je veux qu’on fasse ça dans son lit ».

Je la suis donc dans cette chambre peu éclairée, un matelas est déposé sur le sol, l’atmosphère y est beaucoup moins chaleureuse mais Mo’ est là, rien d’autre n’importe. Elle s’allonge sur le dos, me permettant d’enlever son pantalon, je m’allonge entre ses cuisses et commence à lui faire sentir mon souffle chaud, rapide à travers le léger tissus devenu l’un des derniers remparts contre la fusion imminente de nos corps. Je glisse une main entre le matelas et son dos pour mieux la cambrer et la rapprocher de ma bouche. Sa peau est chaude, et tellement douce. C’est une respiration haletante qui accompagne ma respiration. J’embrasse son petit triangle de tissu et sens l’humidité traverser. J’écarte son tanga et dépose le bout de ma langue sur ses lèvres. J’adore cette fille, toujours épilée de très près. Là encore, c’est une tentation permanente pour la manger. Je sens ses mains appuyer sur ma tête. Je la laisse faire un instant puis commence à lui titiller le clitoris. J’ai envie de la prendre maintenant mais je veux m’occuper d’elle, je veux qu’elle se sente passionnément désirée… Je glisse un doigt dans sa fente bientôt rejoint par un deuxième. Elle est dégoulinante de plaisir, j’adore la sentir onduler, mais de l’autre main je plaque son corps contre le lit. Elle dit mon prénom et j’adore ça, je la sens de plus en plus excitée, c’est un appel pour ma langue qui vient fondre entre ses lèvres pour être ensuite remplacée par trois de mes doigts. Son envie est telle qu’elle se lève me repousse violemment sur le matelas.
E
lle se met à genoux sur moi, m’enfonce la langue dans sa bouche, se relève et enlève son haut laissant apparaitre une petite poitrine mais encore une foi parfaite pour moi. Me fixant, elle retire son soutient gorge. Elle me déshabille d’une vitesse qui encore aujourd’hui m’étonnera toujours…

Le bout de sa langue passa de ma nuque jusqu’au haut de mon caleçon tendu. Elle baisse celui-ci et débute sa valse de langue. Chaque coup de langue entraîne un sursaut de mon sexe qu’elle finit par engloutir. C’est tellement bon que je suis obligé de ponctuer nos instants d’extase par des timides mais non moins nécessaires « attends je ne veux pas jouir maintenant » ce qui eu pour effet de la faire sourire et de me dire « prends moi ». Je m’allonge sur elle et vient pointer mon gland sur ses grandes lèvres. Je lui sur élève les jambes et lui rappelle comme elle est belle en m’enfonçant tendrement en elle. Son corps est brulant de même que le mien. Mes va-et-vient se font de plus en plus rapides et je sens ses mains passer de mon dos à mes fesses musclées. Ces mains si douces me poussent à y aller plus fort et plus vite. J’ai tellement envie de toi Mo’ mais sa bouche me manque déjà. Je me relève et d’une main dans les cheveux l’invite à revenir me faire ma fantaisie buccale.

A ma surprise, elle tente une gorge profonde ce qui m’excite énormément. Mes mains se crispent dans sa chevelure châtain. J’adorais la regarder me prendre en bouche comme ça, elle est tellement belle et je lui rappelle en lui disant qu’elle m’a terriblement manqué. Sa réponse fut un sourire et un retrait elle se mit à quatre pâtes et me regarda par dessus l’épaule. Je veux que tu jouisses en levrette. Je m’approche d’elle et m’exécute. Plaquée contre elle je lui caresse le creux des reins et fini par jouir en elle dans un râle.

Elle m’a fait décollé. Je m’allonge sur elle et pose ma tête prêt de sa nuque. Son odeur est divine et invite à se lover en permanence. Mais il faut se rhabiller, je n’oublie tout de même pas que je suis dans le lit, l’appartement d’un autre homme. Tout deux rhabillés, nous retrouvions le salon quand des bruits de pas se firent entendre. Son homme rentrait avec un ami à lui dans l’appartement.

J’eu peur que la rougeur de mes joues ne nous trahisse mais il n’en fut rien. Le couple était froid. Mo’ décida de sortir de l’appartement et m’emmena dans une petite ruelle pour se venger ou me redonner du plaisir, à y réfléchir, les deux sont probables. Quoi qu’il en soit, c’est au pied du palais des Papes qu’elle décida de me reprendre en gorge profonde. Elle senti mon sexe grossir, prémisse de ma jouissance imminente. Elle enfonça sa tête plaquant son nez sur mon pubis et voulu m’avaler.

Deuxième jouissance en peu de temps… Je lui demande quand est-ce qu’on se revoit.
« je ne sais pas, là je rentre embrasser mon mec… » c’était bel et bien une vengeance… merci Mo’…

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