Rencontre érotique sur la Côte d’Azur

Salut, je m’appelle Ambroise et je suis toujours partant pour des aventures coquines, surtout quand je suis en vacances et quand il fait beau. Alors que je passais le mois d’août sur la Côte d’Azur et que je lisais un roman au bord de la piscine après avoir fait une bonne vingtaine de longueurs, une ravissante fille blonde qui ne portait qu’un minuscule string me demanda la permission de s’installer à côté de moi. J’acceptai avec plaisir et je l’aidai à étendre sa serviette. Elle me remercia en souriant et nous nous présentâmes mutuellement. Elle me dit qu’elle s’appelait Nathalie et qu’elle était cadre dans une grande société. Nous continuâmes à bavarder, ce qui nous fit découvrir que nous avions de nombreux points communs. Peu à peu, un sentiment amoureux naquit entre nous et je la complimentai sur son physique.Elle mesurait environ 1 m 65, avait une taille fine et une superbe poitrine qui devait faire un bon 90 C. Ses seins étaient admirablement galbés et ornés de belles aréoles brunes qui formaient un ravissant contraste avec sa peau claire. Elle avait en plus de superbes yeux bleu ciel.

L’heure de fermeture de la piscine approchait et nous dûmes nous rendre au vestiaire. Elle me demanda de l’attendre à la sortie où nous nous retrouvâmes. Elle portait une élégante robe bleu marine qui valorisait bien sa silhouette mince et ses cheveux blonds tout en moulant fort bien ses seins et leurs tétons !

« Tu es très élégante, Nathalie » lui dis-je. Je lui proposai de l’inviter au restaurant où nous dégustâmes un savoureux dîner. Ensuite, elle me demanda de la raccompagner chez elle, ce que je fis volontiers. Nous montâmes dans l’appartement qu’elle avait loué pour les vacances et elle me proposa d’y passer la nuit. « Mais je n’ai pas de pyjama » répondis-je un peu surpris.

« Aucune importance, mon chéri. » me répondit-elle. Elle retira alors lentement sa robe et je sentis mon zob devenir aussi raide qu’un manche à balai en voyant que son soutif était complètement transparent et qu’il laissait les aréoles et les mamelons à l’air ! Elle m’invita à le dégrafer et à lui enlever sa culotte. Je la découvris ainsi toute la nudité de son corps. Je ressentis alors une envie irrésistible d’enlever mon pantalon et mon slip, tant elle était belle et excitante en se montrant ainsi toute nue. Elle avait un de ces culs ! Deux fesses hyper bien roulées ! Voilà bien plus qu’il n’en faut pour vous raidir la pine ! Je me débarrassai de mes vêtements, fier d’exhiber un zob mesurant une bonne vingtaine de centimètres. « Dis-moi, on dirait que je te fais de l’effet, petit coquin ! » me dit-elle en éclatant de rire. Je lui dis que c’était le moins que l’on puisse dire et nous nous mîmes au lit.

J’avais déjà couché de nombreuses filles, mais aucune d’elle n’avait une peau aussi soyeuse que Nathalie. De plus, elle me serrait dans ses bras d’une manière si affectueuse et si tendre que je me suis senti très à l’aise en sentant le contact intime de son corps totalement nu. Notre excitation monta au fur à mesure que nous échangions des caresses et que je promenais mes mains sur son superbe cul nu.

Elle avait mis une boîte de préservatifs sur sa table de nuit et je lui demandai de m’en mettre un, car mon excitation était à son comble. Elle ne se fit pas prier, car elle était tout aussi excitée que moi. Ensuite, alors que j’étais allongé sur le dos, la pine bien dressée, elle écarta ses cuisses prit ma queue et s’empala dessus en prenant tout son temps histoire de faire durer le plaisir. La pénétration bien profonde me fit ressentir une légère onde chaleur, puis je commençai à faire de vigoureux va-et-vient dans son vagin tout chaud et elle ne tarda pas à crier tant elle jouissait. J’eus moi-même un prodigieux orgasme, mais mon excitation était toujours aussi forte après le coït. Elle s’en aperçut et se mit à me sucer vigoureusement le zizi, ce qui me valut de connaître une nouvelle jouissance extrême.

Pendant les minutes qui suivirent, nous recommençâmes à nous caresser. J’eus l’immense plaisir de sentir ses attouchements ultra-sensuels tout en caressant ses seins si exquis. Mais notre désir mutuel ne tarda pas à revenir et constatant mon érection, Nathalie me remit un préservatif et s’allongea sur le dos en écartant ses cuisses d’une manière particulièrement provocante. Je la pénétrai avec fougue et nous eûmes rapidement tous les deux à nouveau un fantastique orgasme.

Mais j’avais une envie irrésistible de sentir ses seins branler ma queue, ce qu’elle devina car je sentis entre mes couilles une délicieuse impression de chatouillement. Je vis alors qu’elle promenait son mamelon droit sur mon sexe, ce qui me fit bander comme je n’avais jamais bandé ! Nathalie se mit sur le dos et m’invita à bien caler ma pine entre ses seins qu’elle se mit à bouger en combinant si bien l’énergie et l’habileté qu’elle me fit la plus belle branlette espagnole ! Personne n’imagine à quel point elle m’a fait jouir !

Ensuite, nous nous endormîmes tendrement enlacés