Ski, soleil … et sexe!
Passionné de ski, je suis déjà installé dans le TGV qui va me conduire à Grenoble, d’où je prendrai un car jusqu’à l’Alpe d’Huez. Une ravissante passagère aux cheveux châtains a retenu la place qui est juste en face de la mienne. Bien entendu, je l’aide à monter ses bagages et elle me demande si j’accepterais que nous échangions nos places. En effet, je suis dans le sens de la marche du train et elle me dit qu’elle risque d’avoir mal au cœur si elle voyage le dos à la marche. J’accepte volontiers, car je suis ravi de pouvoir faire plaisir à une si jolie fille. Elle me dit « Merci, c’est vraiment gentil. » Vingt minutes après, le train s’ébranle et nous commençons à bavarder amicalement. Elle me dit qu’elle s’appelle Patricia et qu’elle est très contente de m’avoir rencontré, car elle venait de se séparer d’un personnage dont elle était à la fois la collaboratrice et la compagne et qui s’était conduit d’une manière vraiment honteuse envers elle. Elle a réussi à se réinsérer professionnellement, mais elle a découvert que l’individu l’avait spoliée gravement. Bien entendu, elle a déposé plainte contre lui, mais elle se demande comment va pouvoir récupérer son argent. Je la rassure en lui disant que je suis avocat et que je connais bien ce genre d’affaires. « Nous verrons cela quand nous serons rentrés à Paris » lui dis-je.
Sans nous en rendre compte, nous sommes déjà arrivés à Lyon où le TGV s’arrête deux minutes. Un peu plus d’une heure après, nous débarquons à Grenoble d’où nous prenons un car jusqu’à l’Alpe d’Huez. Pendant le trajet en car, les sentiments qui avaient pris naissance entre nous entre Paris et Grenoble s’accroissent et elle passe son bras autour de mon cou. En me caressant la main, elle me demande : « À quel hôtel vas-tu descendre à l’Alpe d’Huez ?
– À l’hôtel de la Vallée Blanche.
– C’est génial, j’y descends moi aussi : »
Une fois arrivés, nous prenons nos chambres à l’hôtel. Sa chambre se trouve presque en face de la mienne. Après avoir rangé ses affaires, elle frappe à ma porte. Nous commençons à échanger des gestes tendres et nous nous débarrassons peu à peu de nos vêtements. Je sens que mon job est déjà vraiment hyper raide quand Anne-Sophie (c’est son prénom) ne porte plus que son soutif et son string qui sont aussi transparents qu’un verre de lunette ! Je découvre en effet une paire de simplement sublime qui fais un bon 92 B. Deux seins parfaitement naturels, impeccablement proportionnés et des aréoles brunes ainsi que des tétons légèrement plus clairs. Elle me demande de lui enlever son soutif, car elle a un peu de mal à défaire l’agrafe dorsale. Inutile de dire que je lui rends volontiers ce service et que je découvre à cette occasion à quel point la douceur de la peau d’Anne-Sophie est exceptionnelle. Mon excitation s’accroît encore comme quand je lui enlève son string. Je vois apparaître un sublime triangle de poils pubiens et un de ces culs ! Le galbe parfois de ces deux fesses me fait bander comme un Turc ! Anne-Sophie me raconte alors qu’elle a fait exprès de s’acheter des dessous coquins, car elle souhaitait pouvoir mieux exciter le garçon charmant qu’elle espérait rencontrer pendant ses vacances.
Nous commençons à nous enlacer et je ressens un bien-être infini tellement sa peau est douce. Je lui dis que je ne comprends pas comment son ancien petit ami a pu être aussi odieux envers une fille comme elle. Mais je me rends compte que mon devoir est de lui faire oublier ce mauvais souvenir. Allongée sur moi, elle apprécie les caresses de mes mains sur son cul nu et nous tardons pas à avoir très envie d’une pénétration ultra profonde. Je prends la boîte de préservatifs que j’avais emportés. Elle m’en met un et elle s’empale sur mon zob. Nous commençons à faire en même temps des mouvements de va-et-vient bien harmonisés et nous poussons tous les deux un petit cri qui est loin d’exprimer la force de l’orgasme que nous ressentons en même temps.
Je me demande si cela résulte de l’effet de l’attitude, mais nous avons tous les deux un désir sexuel insatiable. À peine le temps de couvrir mon gland d’un préservatif et Patricia se met à me sucer le zob avec une telle vigueur que je sens un formidable orgasme en moins d’une minute.
Quelques caresses nous excitent à nouveau et elle dit qu’elle a très envie de me faire une cravate de notaire. Elle durcit encore plus mon érection en montrerait les couilles avec le mamelon de l’un de ses seins en faisant pas une sensualité exquise. Ce geste suffit largement à rendre toute sa vigueur sexuelle à mon zob qui redevient aussi dur qu’un manche en bois. J’éprouve un plaisir infini lorsqu’il est calé entre les seins d’Anne-Sophie. Le contact doux et chaud de la peau de sa poitrine sur celle de mon zob est tout à fait délicieux et au bout de quelque va-et-vient entre ces seins exquis, je me retrouve encore au sommet de l’extase.
Voilà des vacances à la neige qui se présentent fort bien.