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Visite… avec un grand V

Pseudo : ludmina
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Cette visite aurait pu être comme les autres… Je m’attardais à ouvrir consciencieusement les volets de cette maison en attendant mon acquéreur potentiel. Cette visite organisée en fin de soirée me permettait de me détendre de cette journée épuisante et ensoleillée. Relisant ma fiche technique pour ne rien oublier dans mes explications au cours de cette visite, je me remémorais les exigences de ce client lors de notre entretien téléphonique quelques jours auparavant.

D’une voix chaleureuse mais déterminée il avait su insister sur le fait que cette maison devait avoir des combles avec une charpente apparente de belle dimension et surtout de belle qualité, son rêve était d’avoir la possibilité de pouvoir en levant ces bras, toucher ces poutres, le bois était pour lui nécessaire a son équilibre, les sensations du bois était essentiel pour lui.
Cette ensemble devait dans l’idéal avoir une surface d’au moins 50 m² pour y faire un univers rien qu’a lui, bureau, petit salon télé, fumoir etc

Les propriétaires précédent avaient pris soin de dégager cette maison de tout mobilier dans les pièces principales, quelques cartons, ficelles, miroirs, emballages divers, jonchés le sol de ces combles, je m’amusais à glisser quelques objets le long du mur pour dégager notre passage lors de cette visite. Ce grand miroir posé négligemment contre le mur me permis de réajuster mon chemisier, il faisait si chaud que j’apercevais quelques gouttes de sueurs sur ma gorge, j’avais très soif et mon client tardé à arriver.

Je pris l’escalier pour descendre au rez de chaussé et me désaltérer au robinet de l’évier, je n’en pouvais plus de cette chaleur qui de toute la journée m’avait harassé, penchant mon visage pour boire je laissais glisser quelques gouttes d’eau le long de ma joue, ainsi coulant sur mon cou me rafraîchirais un minimum.
Je pris un peu d’eau dans une main pour rafraîchir mes jambes. Une toux derrière moi me fis sursauter, me relevant d’un coup et pivotant rapidement j’aperçus mon client l’épaule contre un mur à l’entrée de cette cuisine, souriant de m’avoir surprise dans une posture un peu amusante, je sentais l’eau coulé sur mon cou, sur mes jambes, confuse, je m’excusais de ne pas l’avoir entendu arriver et justifiais mon attitude du fait que cette journée était caniculaire.

Il ne répondit pas mais accentua son sourire…quelques secondes plus tard il précisa que je pouvais continuer à me désaltérer si je le souhaitais qu’il comprenait que lui aussi avec très chaud.
Un peu troublée je m’approchais de lui pour le saluer d’une poignet de main, il se redressa, me salua à son tour, je fus troublée par cette main ferme et délicate et ce sourire toujours accroché à ses lèvres.

La visite pouvait commencer, avec un léger rictus au coin des lèvres, je précisais ne pas avoir à lui présenter la cuisine puisque nous étions dans cet univers. Engageant ses pas derrière moi il me suivait à la découverte de chaque pièce, les volumes étaient spacieux il était agréable de marcher sur ces parquets cirés, j’écoutais mes pas résonner sur ces lattes et je me demandais si son regard était posé sur moi … consciemment je m’appliquais pour marcher, je me trouvais curieusement coquine de pouvoir imaginer que cet homme m’observais.

Ces questions étaient précises et je l’observais attentivement en répondant à celles-ci.
Le ton de ma voix résonnait peu dans cette maison, je parlais plutôt doucement, cet homme apaisant et posé rendait cette visite très agréable. Je ne pouvais dire à cet instant, si, ce que je lui présentais était à son goût, mais je savais avec quel endroit j’allais marquer des points. J’appréciais l’idée de pouvoir le surprendre avec mon bouquet final, donc je déambulais dans ces pièces du Rez de chaussée tranquillement.

Je poursuivais ma visite avec le jardin qui donnait directement sur le salon, quelques herbes hautes et sèches dominées cette étendue. J’avançais tranquillement. Un étroit passage surplombé d’une petite tonnelle recouverte de vigne, nous permettait d’accéder sur la plus jolie partie du jardin, la découverte de jolis massifs de fleurs. Je dégageais le passage de mes mains car la vigne avait bien profité… d’une main j’arrachais ces quelques feuilles.

Au même moment un bruit a mes pieds me fit reculer de deux mètres et me projetas dans les bras de mon client qui me reçu contre lui, perturbé par le bruit qui m’avait fait reculer, je ne bougeais plus en cherchant d’où provenait ce bruit étrange et surtout quel était l’origine de cette petite peur…j’aperçus une masse grise s’éloignait et entendit dans mes oreilles d’une voix douce –« ce n’est qu’un chat n’ayez crainte ».
Sa voix était si proche que seulement à cet instant je me sentis contre son torse, plaqué contre lui, avec une main sur mon avant bras Cette main devait être à l’origine du cri que je n’avais pas poussé, elle avait du spontanément me rassurer. Confuse une nouvelle fois de mon attitude je lui demandais de bien vouloir m’excuser en souriant de ma stupidité tout en m’avançant pour continuer cette visite. Je sentie sa main se dégager doucement de mon bras, mais laissant glisser doucement celle-ci jusqu’à mon coude. Je fus surprise, et si la confusion m’avait fait prendre quelques couleurs, son attitude là m’en donnait d’avantage…

Il m’invita, en éclatant de rire, de ne pas continuer dans ce jardin qui pouvait représenter milles dangers.

–« Continuons dans la maison précisa t-il nous serons peut-être plus en sécurité ».

Je ne fis pas prié. En me retournant pour exécuter ces bons conseils … je vis qu’il ne bougeait pas, lui faisant un signe de la main pour lui préciser que nous pouvions retourner dans la maison, il ne semblait pas comprendre…je levais mes yeux d’avantage sur son visage pour le regarder et lui indiquer que nous pouvions avancer vers la maison, mais il ne fît pas un geste, son regard perçant me troubla, il me regardais droit dans les yeux. Je l’interrogeais d’un signe de tête, il me sourit et se déplaça légèrement pour me laisser passer. Ce passage si étroit ne permettait que difficilement d’être l’un a coté de l’autre sans devoir se toucher, au moment ou je m’avançais de profils pour le toucher le moins possible, il tendit son bras pour me barrer le passage, je stoppé net mon élan, ma surprise le fit sourire, il aimé semble t-il les moments de silence car une fois encore il se tût quelques secondes.

-« Je peux vous poser une question ? » me dit-il.

Évidemment de mon sourire il comprit qu’il pouvait

–« j’aimerais connaître votre prénom »

J’éclatais de rire à mon tour en lui annonçant tous simplement Betty, et dégageant légèrement son bras de ma main j’avançais de nouveau vers la maison.

Je me sentais de plus en plus troublée, je le trouvais particulièrement séduisant dans son pantalon gris anthracite et sa chemisette blanche légèrement déboutonnée laissant apparaître une peau un peu mat et certainement très douce, je chassais ces idées de ma tête et revînt vers l’objectif qui était le mien, faire de lui un acquéreur pour cette maison.

L’étage que j’avais réservé pour la fin fût l’endroit de notre dernière découverte sur ces lieux.
Je pris l’escalier, et marche après marche je ponctuais chaque pas d’un mot en lui disant que l’étage était exactement comme il me l’avait décrit dans sa recherche.

-« Si c’est le cas Betty… vous en serez récompensé »

J’entendis cette phrase dites avec un large sourire, je m’en amusais et continuer l’ascension..
Je voulais voir son expression avant même qu’il découvre cet univers, pénétrant dans ces combles, je me déportais légèrement sur la droite et le laissa admirer tout en l’observant. Un large sourire s’étaler sur son visage. Il avança droit devant lui et tel un enfant tournant sur lui-même regardant cette charpente magique qui dominait dans toute cette pièce, il pouvait toucher des mains ces poutres magnifiques. Il me demanda la possibilité de prendre quelques photos, évidemment qu’il le pouvait.

Je me décalais chaque fois pour ne pas être sur le cliché, il en souriait, me précisant qu’il allait bien réussir un moment à m’avoir sur une photo. Mon large sourire lui fît comprendre que je trouvais ces propos plutôt amusants et que je ne me formalisais pas de cette attention plutôt flatteuse.
Reposant son appareil photo il me demanda de lui rendre un petit service, -« pourriez vous m’aider a prendre quelques mesures »
Je m’exécutais docilement prenant soin de tenir le mètre à chaque endroit où il me demandait.
Il voulait aussi vérifier la hauteur des poutres par rapport au sol, il fît de même avec son mètre, je lu un instant sur son visage une certaine contrariété.

-« Qui y a-t-il ? » lui demandais-je.

J’ai besoin que vous me rendiez un autre service, sans hésiter vu son inquiétude j’acceptais.

-« Pourriez vous vous mettre sous la poutre et tendre vos bras et ainsi voir ou arrivent vos mains ? »

Je m’exécutais. Il me demanda de ne pas bouger pour s’assurer d’une petite chose…
A peine le temps de comprendre ce qui m’arrivait, qu’un lien encercla mon poignet droit attaché solidement sur la poutre.
J’étais complètement déconcerté, je lui demandais ce qu’il faisait.

-« Betty, je vous ai dit vous récompenser si l’endroit était à la hauteur de mes espérances »

-« Votre récompense n’est pas vraiment de bon goût, j’aimerais s’il vous plait que vous cessiez cette plaisanterie et détacher ce lien rapidement »

Il s’approcha de moi, je fus soulagée enfin cette petite panique intérieure aller disparaître, Alors que je croyais qu’il allait me détacher il prit mon autre bras assez fortement et le coinça dans mon dos a l’aide de sa main. Il se trouvait face à moi et avant que le moindre son puisse sortir de ma bouche il plaqua ses lèvres sur les miennes, je tournais mon visage aussitôt sur le coté pour manifester, son autre main saisie ma nuque et me ramena vers sa bouche et me murmura.
-« Ne soit pas inquiète, juste pour ton bonheur Betty »

Il relâcha la pression sur mon poignet se trouvant dans mon dos pour me rassurer certainement et ainsi me montrer qu’il ne me voulait aucun mal.

-« Je sais que cette situation est très particulière Betty et que tu ne t’attendais pas à cela, mais tu viens de trouver la maison de mes rêves et je souhaite que tu sois la première que j’honore dans cette maison »

Mon cœur bondissait dans ma poitrine, je le trouvais de toute façon très séduisant. Même si j’étais inquiète je frissonnais de tout mon être.

-« Détends toi et fais moi confiance »

Je décidais sur le champ de m’abandonner à cet homme. Pourquoi me ferais t-il du mal, ces coordonnées étaient sur mon agenda, Nom, adresse, téléphone, adresse email. Il serait rapidement retrouvé.

Je n’opposai aucune résistance quand il me prit l’autre bras en m’indiquant qu’il allait faire comme avec mon poignet droit.
Une fois mes bras tendus, il prit mon visage entre ses mains et m’embrassa vraiment très tendrement, délicatement, et un peu goulûment.

J’avais aperçu avant l’arrivée de cet homme ces liens qui tenaient mes bras, sur les cartons entassés dans ces combles donc rien n’avait été prémédité.

Il tourna mon corps face au miroir que j’avais aussi aperçu, je pouvais ainsi me regarder dans cette position les bras tendus, il ce plaça derrière moi et enlaça mon corps de ses bras, la surprise et l’émotion avait fait transpiré mon corps, j’avais terriblement chaud et surtout très soif. Le fait de m’enlacer me donner encore plus chaud.

-« je reviens »

Un instant de panique me saisit de nouveau : -« Ou allez vous ? »

Je l’entendis descendre les escaliers et remonter presque aussi rapidement, je l’aperçu dans le miroir revenir une bouteille d’eau à la main.

En s’avançant vers moi il pencha ma tête en arrière et fis couler de l’eau dans ma bouche, l’eau ruisselait sur mon cou, c’était frais et agréable, il détacha mon chemisier et continua a verser quelques gouttes sur mes épaules qu’il avait pris soin de dégager. L’eau coulait dans mon dos et sur mes seins, il lapait cette eau de sa langue et se trouva au milieu de mes seins, la bouteille d’eau posée il prit mes seins dans ses mains et dégagea mes tétons de la prison.
Chaque téton était mordillé et délicieusement dégustés. Ses caresses étaient délicieuses. Mon ventre se tordait sous ses caresses.
Ses mains glissées doucement vers mes hanches, mes cuisses encore recouvertes de ma jupe n’allaient pas tarder à être découvertes. Il remonta ma jupe et retira ma petit culotte blanche en la laissant glisser le longs de mes cuisses m’aida a soulever mes pieds pour la dégager.
Il en fît de même avec ma jupe qu’il dégrafa.
Il écarta mes jambes le plus possible je voyais cette scène dans le miroir, j’apercevais ses cheveux bruns entre mes jambes, j’étais très excité.

Mon sexe soigneusement épilé le rempli de bonheur puisqu’il me précisa à ce moment là, me trouver délicieusement excitante. Il se plaça entre mes cuisses, assis sur le sol la bouche à la hauteur de mon sexe, écarta chacune de mes lèvres et titilla directement mon clitoris, il téta de longues minutes toujours en écartant mes lèvres, mon clitoris gonflait sous sa langue, il tirait dessus, l’aspirais, il me suça si bien que rapidement je jouissais dans sa bouche. Je fus presque un peu confuse.

Les bras un peu ankylosés, je restais pendue à me détendre, mes jambes me tenaient à peine tellement la jouissance avait été intense.
Il se releva et me versa un peu d’eau dans la bouche et m’embrassa aussitôt, j’aimais ces baisers doux et passionnés.
La position dans laquelle il m’avait mise commencé à devenir un peu désagréable, il le devina. Il prit une chaise qui trainait dans un coin, l’approcha de moi, et avant de délier les liens monta face à moi sur la chaise, il baissa sa braguette et en sortie son sexe tendu comme un arc qu’il glissa aussitôt dans ma bouche, je le pris à pleine bouche le plus loin possible dans ma gorge, son sexe était chaud et dur, il le laissa glisser dans ma bouche, avançant son bassin en va et vient, il avait envie de jouir je le devinais de ses gémissements. Il se retira assez soudainement. Il descendit de la chaise, déliant mes liens il me demanda de me pencher sur la chaise et d’offrir mon sexe à son sexe, positionna mes mains sur le rebord de la chaise en m’écartant de nouveau divinement bien les jambes, j’imaginais l’image qu’il avait de mes fesses et de mon sexe, il claqua doucement l’une de mes fesses ce qui me fit me redresser légèrement et d’un coup sur les reins assez brutal me somma de reste penchée comme il me l’avait suggéré. Je n’osais pas le regarder, mais ce miroir toujours placé face à moi me permettait de l’apercevoir. Je le trouvais vraiment délicieux, il avait déboutonné sa chemise, je pouvais donc constater qu’il était vraiment bel homme.

Il s’écarta de moi, il n’était plus dans mon champ de vison, mais je l’entendais bouger des objets.
-« Aimes tu les objets introduis en toi ma belle ? »

Je n’osais répondre que oui, il renouvela sa question, je répondis oui mais si doucement qu’il s’approcha de moi en m’apposant une petite claque sur l’autre fesses en disant je n’ai rien entendu .. !

-« Oui dis-je un peu plus fort ».

Il s’écarta de moi d’environ 1 mètre, positionner juste derrière moi je ne voyais dans son miroir que son torse cette fois ci entièrement dévêtu et son visage qui me souriait.
Je sentis curieusement quelque chose, mais de très petit et très rigide courir le long de mon sexe, je voyais son bras bouger légèrement, il tenait quelque chose du bout du bras, mais qu’étais ce ? Doucement il jouait avec ce qu’il tenait dans la main à écarter mes lèvres l’une après l’autre et il introduisait très lentement cette rigidité dans mon sexe. C’était fin et très dur, j’étais très excité, je sentais mon sexe se gonfler de plaisir, il fît glisser cet objet le long de mon antre pour récupérer un peu de mon plaisir et remonta doucement vers mon anus, il tapotait l’entrée de mon anus, du bout de cette tige raide, il tapotait comme si il ajustait son tire, je sentis que l’ouverture ce dilaté, je me penchais un peu plus, comme une invitation a me prendre, je voulais que mon anus s’écarte doucement, il tourna sur elle-même cette tige qui s’engouffra d’un petit centimètre et il ne bougea plus. Il faisait tourner cette objet si petit que je le sentais à peine, il le faisait tourner à l’intérieur de moi et glisser un peu plus loin chaque fois, mais si peu chaque fois que mon corps s’agita pour permettre a cette objet de glisser un peu plus en moi. Il le retira et avec celui-ci me donna un petit coup cette fois sur mes deux fesses et me demanda de ne pas bouger, d’attendre, que c’était lui qui devait manipuler et décider de la pénétration.
J’étais terriblement excité et n’apercevais toujours pas l’objet qu’il tenait dans sa main. Il recommença à pénétrer mon cul toujours loin derrière moi. L’excitation provoqué m’avait dilaté tous mes orifices, si bien que cet objet qui était ressenti comme une brindille me déconcerté et j’espérais un peu plus de virilité.
Je fusse servi, car cette fois la pénétration devin un peu plus difficile a l’approche de cette objet, quelque chose de plus gros me pénétrais cette fois, il avait retourné l’objet et recommençais a tapoter mon anus du bout de cette objet, il le fît glisser à l’intérieur et cette fois mon corps fût envahi de désir, il le roula à l’intérieur de moi, tout en s’enfonçant délicieusement, c’était dur et rond, comme son sexe, mais plus dur encore.
Il changea d’orifice, il engagea celui-ci dans mon sexe, se pencha et trouva une latte de bois qui pouvait maintenir seul cette objet dans mon antre, le maintenir enfonçait dans mon sexe et être libre de ces mouvements.
Il s’approcha de moi et m’écarta de ces deux mains, mon sexe et mon anus, il donna quelques petits coups de langue sur mon anus, et lécha mes fesses. Il bougea légèrement mes fesses pour me faire glisser sur cet objet et s’assurer qu’il tenait bien et ne pouvait en aucun cas me blesser.
Il prit cette fois position au niveau de mon anus, ayant enjambé l’objet, m’écarta les fesses et ainsi se glissa rapidement dans ce petit trou qui l’attendait depuis un moment.
J’étais prise dans les deux orifices, il percuta doucement mes fesses, donna des coups lents mais profonds, je me sentais prêt à exploser de plaisir, saisissant mes épaules il me bloqué contre ces hanches, nos corps et nos cris se mêlèrent notre jouissance fût a son comble.

L’histoire ne dit pas si l’acquéreur à acheter cette maison.
Mais en tous cas elle restera à jamais dans mon cœur et dans ma mémoire ainsi que cet homme d’ailleurs qui m’a fait découvrir que les queues de billard peuvent servir aussi à autre chose… !

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